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Choisir vitamine E, pouvoir antioxydant

Quelle Vitamine E ?

Jusqu'à une époque récente le rôle de la vitamine E était encore méconnu. C'est pourquoi celle qui est généralement disponible sur le marché est loin de répondre aux besoins réels de l'organisme, soit parce qu'elle est synthétique soit parce qu'elle ne contient qu'un seul de ses huit composants (alpha, bêta, gamma et delta tocophérols et les alpha, bêta, gamma et delta tocotriénols).

Au vu des enquêtes scientifiques menées ces dernières années, nous sommes tous déficients en vitamine E ! Il est donc important de reconnaître toute la nécessité d'une complémentation en vitamine E naturelle et complète.

Nécessité d'une supplémentation

Notre organisme est incapable de produire la vitamine E dont nous avons besoin. Celle-ci doit donc, en principe, être apportée par l'alimentation. Mais les aliments les plus dotés en vitamine E sont aussi les plus riches en acides gras polyinsaturés, car elle est précisément utilisée par ces acides gras pour se protéger du rancissement. La vitamine E est donc généralement "consommée" par l'aliment même qui la contient.

Si l'on rapporte la richesse en vitamine E des aliments couramment utilisés dans les pays occidentaux à leur contenu en acides gras polyinsaturés, il n'y a guère que l'huile de germe de blé, l'huile de tournesol (mais la cuisson détruit rapidement la vitamine E), les noisettes et les amandes qui ont un bilan global positif.

C'est pourquoi, selon plusieurs études, près de 100 % de la population européenne ne reçoit pas les apports recommandés en vitamine E, pourtant fixés délibérément au minimum.

Quelle est l'importance de la vitamine E ? Elle agit au niveau des lipides (corps gras), et donc dans tous nos tissus et dans les membranes cellulaires, où elle joue un rôle pivot dans la lutte contre la propagation des réactions en chaîne initiées par les radicaux libres. Par ailleurs la vitamine E s'avère être un complément indispensable à l'action d'autres anti-oxydants importants tels que le sélénium, le glutathion réduit (GSH), la co-enzyme Q10, la vitamine C et les caroténoïdes.

Mais la vitamine E a aussi d'autres fonctions que celle liées à son pouvoir anti-oxydatif :

  • Elle stimule la réponse immunitaire.
  • Elle exerce une action anti-inflammatoire en agissant sur les systèmes enzymatiques dans le sens d'une moindre production de prostaglandines et de leucotriènes (substances jouant un rôle dans les réactions d'hypersensibilité immédiates).
  • Elle interfère avec l'adhésion des globules blanc à la surface des vaisseaux, empêchant du même coup le passage des cellules inflammatoires.
  • Elle inhibe la prolifération des cellules musculaires lisses, prévenant ainsi l'épaississement des parois artérielles et diminuant donc les risques d'athérosclérose.
  • Elle aide à fluidifier le sang en inhibant l'adhésion des plaquettes, ce qui permet de réduire les risques de thrombose.

Ces multiples fonctions, alliées aux pouvoirs anti-oxydant de la vitamine E, la rendent utile sur plusieurs plans. De très nombreuses études confirment ainsi que coeur, cerveau, muscles, articulations, peau, appareil digestif, yeux et appareil immunitaire bénéficient directement et très sensiblement de son action.

Selon les spécialistes, les doses optimales de vitamine E se situent autour de 200 mg par jour, ce qui est impossible avec l'alimentation seule. Les suppléments sont donc recommandés à vie pour l'ensemble de la population.

Quelle vitamine E et pourquoi ?

Les produits que l'on trouve sur le marché sont de trois sortes :

Synthétiques

Depuis la fin des années 60, la vitamine synthétique que l'on trouve dans le commerce est du "all-rac-alpha tocophérol". C'est un composé de huit variantes géométriques de la même molécule, nommées stéréo-isomères, dont une seule correspond à la forme naturelle RRR tocophérol, ou alpha tocophérol. Outre sa très faible efficacité, elle peut provoquer des effets secondaires tels que troubles gastriques ou palpitations. Sa dénomination officielle, telle qu'elle apparaît sur les étiquettes, est restée "dl-alpha tocophéryl acétate" (ou succinate), bien qu'il ne s'agisse pas du même produit.

Le dl-alpha tocophérol était en effet la première forme de vitamine E synthétique, disponible à partir des années 40. Alors que la forme naturelle de l'alpha tocophérol est seulement lévogyre (réfractant la lumière vers la gauche), cette première forme synthétique était composée de deux éléments qui pouvaient s'associer soit sous forme lévogyre soit sous forme dextrogyre (réfractant la lumière vers la droite), d'où aussi son nom de "dl" alpha tocophérol. Ceci donnait néanmoins au produit une efficacité de 50 % par rapport à la forme naturelle. Autrement dit la forme synthétique disponible aujourd'hui, bien moins efficace que la forme qui l'a précédée et dont elle continue néanmoins de porter officiellement le nom, s'apparenterait plutôt à une tromperie sur la marchandise.

Estérifiés

D-alpha tocophéryl acétate (ou succinate). C'est la forme naturelle couramment trouvée dans le commerce. Les huiles contenant la vitamine E sont chimiquement stabilisées pour éviter tout problème d'oxydation. Sous cette forme le produit n'a pas de pouvoir antioxydant. C'est en passant dans l'organisme que les tocophéryls se transforment en tocophérols et deviennent actifs. La forme acétate est plus rapidement métabolisée que la forme succinate, mais cette dernière semble toucher de plus nombreuses parties des tissus et a une demie vie plus longue.

Formes naturelles mixtes

Ce sont les produits regroupant sous forme huileuse plusieurs des formes de la vitamine E et non pas seulement l'alpha tocophérol. Ceci a des avantages certains quant à l'efficacité du produit, car les différents composants de la vitamine E ont chacun leur utilité et travaillent en synergie.

La forme synthétique aujourd'hui disponible, all-rac-alpha tocophérol, est un composé de huit variantes géométriques de la même molécule, nommées stéréoisomères, dont une seule correspond à la forme naturelle RRR tocophérol, ou alpha tocophérol. Cette dernière uniquement est utilisée par l'organisme, toutes les autres molécules ayant servi à la constitution du produit sont, quant à elles, dirigées vers l'excrétion biliaire par la protéine de transport de la vitamine E.

Non seulement le all-rac-alpha tocophérol est donc 8 fois moins actif que la forme naturelle mais de plus, le seul stéréoisomère utile qu'il possède est aussi 30 à 40 % moins biodisponible que son correspondant naturel. Il apparaît, enfin, que l'activation du transporteur par la prise d'isomères synthétiques entraîne aussi l'excrétion du gamma tocophérol, dont l'importance est cruciale, pour neutraliser certains types de radicaux libres.

Il faut donc utiliser la forme d-alpha tocophéryl (produit estérifié) ou alpha tocophérol (état naturel) de la vitamine E et non pas sa forme synthétique. Mais contrairement à ce que proposent la plupart des produits du commerce, il faut également que soient présentes les autres formes de la vitamine E.

Il faut donc utiliser la forme d-alpha tocophéryl (produit estérifié) ou alpha tocophérol (état naturel) de la vitamine E et non pas sa forme synthétique. Mais, contrairement à ce que proposent la plupart des produits du commerce, il faut également que soient présentes les autres formes de la vitamine E. Lorsque l'on a commencé à évaluer l'efficacité des différentes formes de vitamine E, en effet, on a simplement tenu compte de la diminution du taux d'avortement des rats femelles en fonction des apports dans cette vitamine.

L'alpha tocophérol se montrant le plus efficace de ce point de vue, il se vit donc attribuer un coefficient d'activité de 100 %, relativement aux formes bêta (50 %), gamma (10 %) et delta (3 %) des tocophérols. Une unité de mesure internationale (UI) fut ainsi établie, selon laquelle 1 UI est équivalent à 1 mg d'acétate d'alpha tocophéryl, ce qui représente 0,67 mg d'alpha tocophérol bio-disponible.

De nombreux autres actions biologiques de la vitamine E ont cependant été découverts et rendent caduque cette forme d'évaluation de la vitamine E en UI. Les formes bêta, gamma et delta des tocophérols ainsi que les tocotriénols ont en effet une activité anti-inflammatoire, anticancéreuse, antiradicalaire et cardio-protectrice qui leur est propre. Le plus simple, pour le choix d'un produit, est donc de se reporter à la quantité de chacune des formes de vitamine E qu'il contient.

Au caractère singulièrement étroit du type d'évaluation initial de l'efficacité des composants de la vitamine E, s'ajoute le fait que l'alpha tocophérol, même sous sa forme naturelle, diminue d'un tiers le niveau de gamma tocophérol disponible. La protéine de transport du tocophérol, libérée par le foie, lie en effet de préférence l'alpha tocophérol aux lipoprotéines à partir desquelles la vitamine E peut être active. Une supplémentation en alpha tocophérol uniquement réduit donc d'autant l'incorporation du gamma tocophérol aux lipoprotéines. A haute dose (plus de 1000 mg par jour) l'alpha tocophérol utilisé seul devient pro-oxydatif à cause de l'inhibition du gamma tocophérol.

Le gamma tocophérol

Dans les tocophérols, c'est la forme gamma qui a le plus retenu l'attention des scientifiques ces dernières années. 30 à 50 % de la vitamine E trouvée dans les muscles, la peau, les veines et la graisse corporelle de l'homme est, en réalité, du gamma tocophérol.

Voici brièvement pourquoi le gamma tocophérol s'impose comme antioxydant de choix :

On a découvert que le gamma tocophérol et son métabolite hydrosoluble inhibent la glyco-oxygénase (COX-2) et la production de la prostaglandine pro-inflammatoire E2. L'alpha tocophérol aux mêmes concentrations n'a montré aucune activité anti-inflammatoire. De fait, de nombreuses maladies dégénératives sont liées à une situation inflammatoire chronique, généralement plus prononcée chez les personnes âgées. Or les taux sanguins de gamma tocophérol baissent avec l'âge, pas ceux d'alpha tocophérol.

Dans une étude prospective, les 20 % d'hommes ayant les plus hauts taux sanguins de gamma tocophérol semblent avoir 5 fois moins de chances de développer un cancer de la prostate, comparés à ceux qui ont les plus bas taux de gamma tocophérol. De plus, les effets protecteurs du sélénium et de l'alpha tocophérol à l'égard du cancer de la prostate ont été trouvés uniquement en présence de taux élevés de gamma tocophérols. Il a par ailleurs été montré que le gamma tocophérol inhibe la croissance des cellules cancéreuses de la prostate dans des proportions 1000 fois supérieures à celle de l'alpha tocophéryl de synthèse.

Les effets du gamma-tocophérol ne s'arrêtent pas à la prévention. Ils pourraient entraîner de nouvelles façons de traiter certains cancers. Il a en effet été établi sur des lignées de cellules prostatiques cancéreuses que le gamma-tocophérol inhibait la synthèse de certains sphingolipides, des acides gras essentiels au fonctionnement cellulaire. Ainsi, les cellules cancéreuses privées d'éléments nutritifs dépérissent, puis meurent, ce qui est exactement l'objectif recherché par toute chimiothérapie. Le gamma-tocophérol pourrait ainsi avoir tout son intérêt en complément des traitements anti-cancéreux.

Une large étude sur près de 35000 femmes ménopausées a montré qu'une grande consommation de vitamine E naturelle, et non pas spécifiquement d'alpha tocophérol, est associée à un moindre risque de troubles cardio-vasculaires. Une autre étude a montré que les hommes suédois d'âge moyen ont un taux plasmatique de gamma tocophérol deux fois plus élevés que les lithuaniens; les suédois sont aussi ceux qui connaissent 25 % d'accidents cardio-vasculaires en moins. Aucune corrélation inverse de ce type n'a été trouvée avec l'alpha tocophérol.

Le gamma tocophérol, enfin, neutralise les composés nitrés de la pollution et les radicaux libres à base de nitrogène, dont le peroxynitrite et le dioxide de nitrogène qui comptent parmi les radicaux libres les plus agressifs.

Les tocotriénols

En plus du caractère indispensable du gamma tocophérol, les études scientifiques tendent à montrer que les tocotriénols pourraient être les membres les plus importants de la famille de la vitamine E. La structure moléculaire de ces derniers les autorise, en effet, à se mouvoir plus librement dans les membranes cellulaires, de même qu'à se recycler plus rapidement que les tocophérols. Trois domaines sont plus particulièrement concernés par leurs bienfaits : la longévité, les troubles cardio-vasculaires et le cancer du sein.

Des tocotriénols dérivés d'huile de palme ont été utilisés dans une étude sur les processus de vieillissement sur des nématodes, une espèce de ver très couramment utilisé en recherche scientifique car il possède 75 % de séquences génétiques similaires aux humains. Ces nématodes ont vu leur durée de vie augmenter de 19 %, alors que l'alpha tocophérol n'avait aucun effet sur eux.

On a également mesuré la carbonylation protéinique, un processus oxydatif particulièrement toxique, signe de vieillissement aussi bien chez l'humain que chez les nématodes. Cette carbonylation protéinique était réduite de plus de 30 % chez les nématodes ayant ingéré de l'huile de palme. Non seulement, enfin, les tocotriénols jugulent l'oxydation cellulaire, mais ils sont également capables de réparer les dommages déjà occasionnés. En effet, la durée de vie des nématodes que l'on irradie aux rayons ultraviolets et à qui l'on fournit seulement ensuite des tocotriénols, excède également celle de leurs congénères.

L'une des découvertes les plus frappantes à propos des tocotriénols est leur capacité à réduire l'athérosclérose. Dans une étude , 50 patients souffrant de troubles cérébrovasculaires dus à une sténose (rétrécissement) de la carotide ont reçu chaque jour soit du gamma tocotriénol enrichi d'alpha tocophérol, soit un placebo. Au bout de dix huit mois, les scanners ont révélé une régression de l'athérosclérose chez 7 des 25 personnes du groupe ayant reçu du tocotriénol et une augmentation de l'athérosclérose chez seulement deux d'entre elles, alors qu'aucune personne du groupe témoin ne montrait de régression mais que 10 voyaient au contraire leur athérosclérose augmenter.

Selon une étude menée en double aveugle durant 12 semaines , les taux de cholestérol total et de LDL cholestérol baissent respectivement dans des proportions de 17 et de 24 % lorsque des tocotriénols sont ajoutés à un régime sans alcool et pauvre en graisses. D'autres facteurs de risque importants, comme l'apolipoprotéine B et la lipoprotéine A, ainsi que la thromboxane B2 et le facteur plaquettaire 4 ont tous été sensiblement réduits dans plusieurs études utilisant les tocotriénols (respectivement de 15 %, 17 %, 31 % et 14 %).

La plupart des cancers du sein sont supposés être dépendants des estrogènes, mais ceci est moins vrai des tumeurs apparues après la ménopause. Or les tocotriénols permettent l'inhibition de la croissance des tumeurs cancéreuses du sein même lorsqu'elles sont indépendantes de la sensibilité aux estrogènes.

Les chercheurs ont en effet testé l'effet des tocotriénols de l'huile de palme sur 3 sortes de cellules issues de cancers du sein (MCF7, MDA-MB-231 et ZR-75-1) et ont découvert que les tocotriénols, notamment les fractions gamma et delta, inhibent sensiblement la croissance des cellules cancéreuses, dépendantes ou non de la présence d'oestradiol, qui est le principal des estrogènes.

Parmi les tocotriénols, la fraction delta est le plus puissant inducteur de l'apoptose (mort cellulaire) dans les cellules issues du cancer du sein, qu'elles soient ou non sensibles aux estrogènes . La concentration requise de tocotriénols est moins de 1/20ème de celle de l'alpha tocophérol pour combattre les cellules cancéreuses sensibles aux estrogènes, et de moins de 1/10ème pour celles qui ne le sont pas.

Le pouvoir antioxydant de la vitamine E

Toute production d'énergie dans le corps se fait par oxydation et donc par la production de radicaux libres. Loin de tous être nocifs, ces derniers sont pour la plupart impliqués dans l'entretien et le fonctionnement de l'organisme ainsi que dans le processus de la fécondation, de la maturation et du mouvement cellulaires. C'est seulement la surproduction de radicaux libres qui, en tant que telle, pose problème.

Etant hautement réactifs, en effet, les radicaux libres n'ont de cesse de "voler" un électron à d'autres molécules pour se stabiliser eux-mêmes, entraînant ainsi une réaction en chaîne. Pour y répondre, notre organisme dispose normalement d'un système anti-oxydatif sophistiqué. Malheureusement, lorsqu'il a été soumis de façon prolongée à des facteurs oxydatifs puissants, ses capacités de neutralisation sont dépassées et il devient de plus en plus vulnérable à la destruction cellulaire. Ceci constitue, avec la baisse de production hormonale, l'un des tout premiers facteurs de vieillissement.

Les tocophérols et les tocotriénols font partie de ce système antioxydatif dont les différents éléments, tels que la co-enzyme Q10, la vitamine C, le glutathion, le béta-carotène, le sélénium, etc. interagissent ensemble et se recyclent mutuellement. Tocophérols et tocotriénols ont plus particulièrement le pouvoir de briser la chaîne de peroxydation des lipides par neutralisation des radicaux peroxyles que génèrent les acides gras polyinsaturés de notre alimentation. Cette action, où les tocotriénols sont toutefois plus efficaces que les tocophérols, est capitale, car les lipides sont une partie essentielle à la fois des membranes cellulaires, des hormones et des tissus nerveux. La peroxydation lipidique est ainsi notamment à l'origine de l'athérosclérose.

L'action de la vitamine E à l'égard des radicaux peroxyles est d'autant plus importante qu'ils endommagent aussi des protéines qui sont à la base d'un grand nombre de fonctions quotidiennes chez les humains.

Tocophérols et tocotriénols combattent également les radicaux nitrogénés qui sont, quant à eux, formés à partir de l'oxyde nitrique. Ce dernier est dans l'organisme une importante molécule de signal, présente dans de nombreux tissus, y compris le cerveau, où elle régule tout une série de processus physiologiques. Lorsque l'oxyde nitrique, toutefois, se combine à un radical superoxide (il s'agit d'un radical libre généré pendant le métabolisme de l'énergie dans la cellule), l'un des radicaux libres les plus toxiques, le peroxynitrite, est formé. Le peroxynitrite est associé aux accidents ischémiques (arrêt ou à diminution de l'apport sanguin artériel dans un tissu ou un organe), aux inflammations et aux désordres neurodégénératifs.

Les formes gamma du tocophérol et du tocotriénol sont les plus efficaces pour réduire les dégâts dus aux radicaux nitrogénés, le gamma tocophérol ayant notamment la capacité de récupérer le dioxide de nitrogène sans former de sous-produits nitrogénés toxiques et s'avérant, de plus, être un efficace inhibiteur de la transformation cancéreuses des cellules . Le gamma tocophérol est aussi beaucoup plus efficace que l'alpha tocophérol pour inhiber la peroxydation lipidique induite par le peroxynitrite et il est nécessaire pour en éliminer les dérivés toxiques, même après l'action antioxydante de l'alpha tocophérol.

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